TÉMOIGNAGE DE MARGAUX TAMBURINI

Issue d’un BTS Commerce International, Margaux a intégré l’ICL en 2014 et est aujourd’hui en dernière année de M2.

Margaux, comment as-tu connu l’ICL et pourquoi as-tu choisi cette école ?

J’ai connu l’ICL au Salon de l’Etudiant de Lyon. J’avais rencontré un étudiant qui m’avait conseillé.

A l’époque je cherchai à poursuivre mes études au moins jusqu’en B3. J’ai choisi l’ICL pour le programme général qui restait varié et large. J’ai également choisi l’ICL pour le côté « taille humaine » de l’école. Je ne voulais pas être « noyée » dans une grande structure.

Il y a ainsi plus de contacts et d’échanges avec les services pédagogies et administratifs. Il y a un accompagnement, on connait mon nom, les rapports et échanges sont plus simples. Le personnel est facile d’accès, les échanges sont directs et il y a le contact humain qui est important pour moi.


Comment s’est passée ton intégration en B3 à l’ICL et ta recherche d’alternance ?

J’ai fait mon B3 en alternance. Ma recherche d’alternance a été compliquée. J’ai passé plusieurs entretiens qui n’ont pas aboutis. Je n’avais pas assez d’expériences et était très timide ! Le service Relations Entreprises m’a envoyé des offres et puis j’ai finalement trouvé mon entreprise d’alternance.


Qu’est-ce que t’as apporté l’ICL en B3 ?

Lorsque je suis arrivée en B3, j’étais plus que timide… puis à la fin de l’année je me suis sentie beaucoup plus à l’aise, grâce aux travaux de groupe et aux présentations à l’oral.

Sur un an j’ai évolué, aujourd’hui c’est fluide et je ne stresse plus.


As-tu souhaité poursuivre dans la même entreprise en M1 ?

En Master 1 j’ai décidé de changer d’entreprise et de secteur d’activité.

J’ai signé un contrat de 2 ans chez ONET Sécurité en tant qu’assistante chargée d’affaires en alternance. Tout se passe super bien, j’apprends beaucoup de choses, mes collègues sont là en soutien, et je me sens dans mon élément.


Tu es dans un secteur d’activité très technique et un univers particulièrement masculin. Comment te sens-tu en tant qu’ « ex-grande timide » ?!

Je me sens hyper bien. Car au bureau avec mes collègues masculins j’ai le sentiment d’avoir du pouvoir et je sais m’imposer. Je ne me laisse pas faire.

C’est grâce à la formation en B3 que j’ai appris à avoir confiance en moi.


Lorsque tu as intégré le B3 tu voulais poursuivre jusqu’en Master ?

Non à la base je voulais arrêter mes études en terminale puis une fois en BTS j’ai de nouveau souhaité m’arrêter.

Mon expérience de vie, m’a prouvé que je devais poursuivre et aller le plus loin. En effet, ma famille a créé une entreprise sans diplôme dans les années 80*. Aujourd’hui je ne me voyais pas monter ma structure ou monter en compétences dans une entreprise sans avoir de diplôme.

*Dans les années 2000


Qu’est ce qui te plait le plus à l’ICL aujourd’hui ?

La diversité des enseignements. Le fait que ce soit des intervenants qui ont des expériences diverses et variées qui sont là pour nous apprendre la vraie vie professionnelle et le monde du travail. Ils partagent leurs expériences et nous donnent des exemples concrets de la vie en entreprise.

Quand ils nous parlent, la pratique se ressent.


Quelle est l’enseignement qui t’a plus apporté et pourquoi ?

J’ai adoré le module e-commerce en B3. C’était un nouvel enseignement et j’ai beaucoup appris.

En M1, c’est le module « développement personnel » qui m’a permis de prendre confiance en moi – ouvrir les yeux – d’écouter les autres… : c’était enrichissant !


Quelles valeurs as-tu trouvé à l’ICL ?

La taille humaine, l’accompagnement, l’écoute, l’aide.


Si tu devais donner un mot qui qualifierait l’ICL quel serait-il?

Deux mots ! : « taille humaine »


Qu’as-tu trouvé à l’ICL que tu n’as pas trouvé ailleurs ?

J’ai fait mon BTS dans un lycée. Puis ici, je suis passé à un Campus : j’ai le sentiment d’être montée en compétences et d’avoir gagné en maturité. On me considère en tant que jeune adulte.


Ce que tu retiens de l’ICL ?

J’ai fait de belles rencontres humaines.

Je suis dans un groupe solide ou nous avons la même vision du travail alors que nous venons d’études ou d’univers différents.